J'ai discuté un peu avec mon entourage qui m'a dit que mon discours était celui d'une femme qui n'avorterait pas. Et puis, je l'ai annoncé au "papa". Là, ça a changé beaucoup de choses.
Il n'en veut pas, c'est catégorique. Si je le garde, je lui gâcherais la vie, ses projets, son avenir. Surtout qu'il ne veut pas de cet enfant mais me dit qu'il serait présent tout de même par la suite, car il ne pourrait faire comme s'il n'existait pas. Mais il m'a dit que si je le gardais, il ne regarderai jamais le bébé avec de l'amour, qu'il ne verrai en lui que « la source de ses soucis ».